Et deux madames !

Enfin un nouvel article ! Et non je ne vous ai pas oublié !

Deux petites madames !!! Celle de la gauche va peut être basculer vers l'avant et celle de droite a un problème au niveau des pieds !

Qu'en pensez vous ?

Etang de Peronne

 

 

Ces bois morts m'ont fait penser à un pistolet ! 

 

  Et peu de temps après, j'ai repéré une coque de pistolet en plastique;

 

Tout cela m'a fait penser à une chanson que voici !

M.Dead ( vous remarquerez au passage le manque d'originalité du titre ainsi que le piètre jeu de mot qui l'accompagne ! )

Enfin un petit dessin après ces nombreuses photos !
La qualité est assez médiocre, en effet ce cher bonhomme qui je l'avoue fait peur, a été dessiné au dos d'un mot croisé de français sur le vocabulaire du théâtre ( intéressant n'est ce pas ! ). Je pense que vous aurez d'autres dessins de ce genre ( personnages avec des coiffes bizarres ) car il y en a de plus en plus au dos de mes polycopiés, en effet je suis comment dire très productive en cours !

Un nouveau post de photos et cette fois ci, c'en est de plage !

Comme vous pouvez le remarquez, il ne faisait pas très beau !

Quelques photos d'un camping où finalement je n'ai même pas dormi !

 Sur ces quatre dernières photos, laquelle préférez-vous ?

Un petit dessin fait comme ça sans but précis sinon celui de mettre les plus de couleur possible !

 

Un autre dessin réalisé pour illustrer un recueil de poèmes que l'on devait faire en français Ce dessin est un peu baclé surtout pour les grosses vagues et la couleur car j'avais un manque de temps et je ne pouvais pas rendre le recueil après, voila c'est pour ça qu'il y a des montagnes dans la mer ;) 

Voici le poème illustré 

André Chénier : La jeune Tarentine

Pleurez, doux alcyons, ô vous, oiseaux sacrés,
Oiseaux chers à Thétis, doux alcyons, pleurez.
Elle a vécu, Myrto, la jeune Tarentine.
Un vaisseau la portait aux bords de Camarine.
Là l'hymen, les chansons, les flûtes, lentement,
Devaient la reconduire au seuil de son amant.
Une clef vigilante a pour cette journée
Dans le cèdre enfermé sa robe d'hyménée
Et l'or dont au festin ses bras seraient parés
Et pour ses blonds cheveux les parfums préparés.
Mais, seule sur la proue, invoquant les étoiles,
Le vent impétueux qui soufflait dans les voiles
L'enveloppe. Étonnée, et loin des matelots,
Elle crie, elle tombe, elle est au sein des flots.
Elle est au sein des flots, la jeune Tarentine.
Son beau corps a roulé sous la vague marine.
Thétis, les yeux en pleurs, dans le creux d'un rocher
Aux monstres dévorants eut soin de la cacher.
Par ses ordres bientôt les belles Néréides
L'élèvent au-dessus des demeures humides,
Le portent au rivage, et dans ce monument
L'ont, au cap du Zéphir, déposé mollement.
Puis de loin à grands cris appelant leurs compagnes,
Et les Nymphes des bois, des sources, des montagnes,
Toutes frappant leur sein et traînant un long deuil,
Répétèrent : « hélas ! » autour de son cercueil.
Hélas ! chez ton amant tu n'es point ramenée.
Tu n'as point revêtu ta robe d'hyménée.
L'or autour de tes bras n'a point serré de nœuds.
Les doux parfums n'ont point coulé sur tes cheveux.